Actualisation du contenu : comment mettre à jour un contenu ancien et regagner le trafic perdu

Dans son rapport 2023 Global sur l’état du marketing de contenu, Semrush rapporte que sur 1700 référenceurs interrogés, 42% ont reconnu que c’est la mise à jour du contenu existant qui a donné le plus grand coup de boost à leur marketing de contenu.

Alors attention ! Si vous êtes en train de développer vos stratégies de contenu, il est temps de freiner la production, de revisiter votre médiathèque de contenu et de (re)tirer profit des articles déjà publiés.

Dans cet article, vous découvrirez :

• La puissance de l’actualisation de contenu
• Quels type de contenus rafraichir en priorité
• Comment rafraichir un ancien contenu
• À quelle fréquence effectuer les actualisations

Mais avant toute chose, assurons-nous que nous sommes bien sur la même longueur d’onde…

Qu’est-ce que le rafraîchissement de contenu ?

Le rafraîchissement de contenu est une stratégie d’optimisation SEO qui consiste à revoir et à mettre à jour le contenu existant, qu’il s’agisse des pages d’un blog ou d’un site web, afin d’en améliorer la valeur, la pertinence et la visibilité.

Cela peut consister en des changements légers tels que l’intégration d’informations nouvelles ou l’amélioration de la mise en forme. Il peut aussi s’agir de modifications plus importantes, comme un changement de point de vue ou un remaniement complet du document.

Quoi qu’il en soit, le but est de maintenir ou d’améliorer la qualité du contenu existant afin d’en tirer une valeur sur le long terme. En outre, le rafraîchissement du contenu est la garantie sans cesse renouvelée que vos clients découvrent des informations utiles et pertinentes à chaque fois qu’ils tombent sur votre contenu.

Trois raisons de rafraîchir régulièrement le contenu existant

1. L’actualisation du contenu aide à stimuler votre trafic organique et votre classement

L’amélioration du trafic vers un site Web est la principale raison pour laquelle les spécialistes du marketing rafraîchissent le contenu existant. Au lieu de laisser peu à peu la dégradation d’un contenu éroder vos gains en matière de référencement, procédez à des actualisations régulières pour aider les pages les plus performantes à briller à nouveau. Et le plus beau dans tout ça, c’est que les résultats sont quasiment immédiats.

Lors d’un entretien que j’ai pu avoir avec lui, Jonas Sickler, analyste du marketing numérique chez Terakeet, a déclaré :

« Après 8 mois sans croissance du trafic organique, nous avons effectué un audit du contenu et rafraîchi les pages clés. Les mises à jour ont contribué à une augmentation de 154,2 % du trafic organique et à une augmentation de 241,5 % des caractéristiques des SERP à la suite de la mise à jour de base d’août 2023. »

Bill Gaule, le stratège SEO de Content Growth, m’a dit lui aussi avoir enregistré des résultats similaires  :

 » Pour un client, nous avons actualisé un ancien article de blog et le trafic a grimpé en flèche dans les 24 heures qui ont suivi la mise à jour. 30 jours plus tard, le nombre de clics a augmenté de 1075 % et le nombre d’impressions de 280 %.

2. L’actualisation de contenu satisfait les algorithmes de Google

Google utilise un algorithme de fraîcheur (mis en place en 2011) pour donner aux internautes les informations les plus récentes, même si cela n’est pas précisé dans leur requête. Ceci signifie que le fait de maintenir votre contenu à jour, en particulier dans les domaines qui évoluent rapidement ou qui sont sensibles au facteur temps, vous aidera à apparaître dans les premiers résultats. C’est tout à fait logique, car un contenu frais et précis est censé améliorer l’expérience des utilisateurs. Il s’agit également d’un signal de confiance positif qui préserve la pertinence de votre site.

Gideon Rubin, PDG de YourIAQ, une ressource de transformation numérique, déclare :

« Chaque trimestre, nous révisons et actualisons les statistiques de notre très populaire article de blog intitulé  » The 15 U.S. Cities With the Worst Indoor Air Pollution  » (Les 15 villes américaines les plus touchées par la pollution de l’air intérieur). Ces mises à jour régulières permettent d’attirer de nouveaux visiteurs intéressés par les données les plus récentes. En conséquence, nous avons constaté une augmentation de 28 % du trafic organique et de 18 % des partages dans les médias sociaux au cours des six derniers mois. »

3. L’actualisation du contenu réduit les risques de cannibalisation

Publier constamment sans prendre le temps de regarder en arrière augmente le risque de créer plusieurs pages ciblant des mots-clés similaires. Au contraire, l’intégration de mises à jour de contenu dans votre stratégie éditoriale vous permet d’examiner régulièrement les URL et les contenus similaires sur votre site. Vous pouvez ainsi repérer en amont les risques de cannibalisation avant toute nouvelle publication. Car il vaut toujours mieux modifier et enrichir une page déjà publiée plutôt que de risquer de mettre en ligne une nouvelle page qui n’apporte pas grand-chose de plus. Elle risque d’être perçue par Google comme étant un doublon ce qui s’avère très dommageable pour le référencement

En fin de compte, l’actualisation du contenu existant est un moyen de travailler plus intelligemment. Comme vous ne partez pas de zéro, une mise à jour demande généralement moins de temps et d’efforts. Elle est également plus rentable que la création de nouveaux contenus et permet d’obtenir des résultats rapides.

Quel contenu faut-il rafraîchir ?

Il est certain qu’un rafraîchissement du contenu ne sera sans doute pas bénéfique à tous les articles de votre site web. Il est donc préférable de donner la priorité aux mises à jour qui auront le plus d’impact.

• Mettre à jour d’anciens articles très performants dont le référencement commence à s’éroder.
• Pousser des articles déjà bien classés vers une position encore plus élevée, par exemple, des positions 8 vers le top 3.
• Améliorer le contenu ciblant des sujets et des mots-clés très pertinents qui sont très mal classés.

Pour trouver ces éléments, procédez à un audit de contenu et analysez votre inventaire. Utilisez des outils tels que Google Analytics et Google Search Console pour suivre les performances du contenu au fil du temps. Il est conseillé d’examiner la différence d’une année sur l’autre ou de comparer des périodes telles que le quatrième trimestre par rapport au troisième trimestre de l’année précédente pour trouver les contenus qui ont perdu de leur superbe.

Des outils d’exploration de sites comme ScreamingFrog ou Sitebulb peuvent vous aider à analyser votre site web et à exporter des données pertinentes pour l’analyse, telles que l’URL, le type de contenu, la date, le titre, etc. Lors de votre analyse, tenez également compte des articles qui ont un impact direct sur vos objectifs commerciaux, et pas seulement de ceux qui ont un potentiel de trafic.

Des outils de référencement comme Advanced Web Ranking et AccuRanker sont également utiles grâce à leur fonctionnalité de suivi de la position, mais vous pouvez aussi consulter ce calculateur de décroissance du contenu pour identifier les opportunités de gains rapides.

Voyons maintenant comment rafraîchir un ancien contenu.

Sept manières de rafraîchir un ancien contenu et d‘en tirer profit

Souvent, je vois des responsables de contenu se contenter de mettre à jour la date de publication ou de changer celle du titre puis, sans doute harassés par tant de besogne, de s’arrêter là. C’est un bon début, mais cela ne constitue pas un véritable rafraîchissement du contenu. De plus, Google a tellement évolué qu’il peut facilement détecter ce genre de tactiques douteuses qui consistent à effectuer quelques simples changements de données à la marge, sans aucune valeur ajoutée.

Pour profiter des avantages de l’actualisation, concentrez-vous sur un contenu aussi récent et pertinent que possible. Dites-vous bien que chaque contenu nécessite une mise à jour adaptée en fonction de son type, de sa performance et de bien d’autres facteurs.
Mais quoi qu’il en soit, voici les mesures à prendre pour actualiser votre contenu et retrouver sa gloire perdue.

1. Vérifiez que l’intention de recherche est restée la même

Commençons par le facteur de classement SEO le plus important : l’intention de recherche. C’est elle qui explique la raison ou le désir qui se cache derrière une requête. Or cette intention peut changer au fil du temps. Pour être bien classé, votre contenu doit correspondre à l’intention spécifique du moment à propos de votre sujet. Si l’intention change, vous risquez de perdre votre position.

Lorsque vous actualisez votre contenu, utilisez InLinks pour confirmer que votre article correspond bien aux intentions détectées chez les utilisateurs. InLinks vous montrera en temps réel les mots-clés et les questions en vogue à propos de votre sujet, puis utilisera des verbes pour préciser les intentions exactes des internautes. Vous pouvez ainsi adapter votre contenu à leurs besoins concrets.

Si votre contenu existant est complètement décalé, il est préférable de le réécrire pour qu’il corresponde à ces intentions et ces besoins. Ce faisant, veillez à ce que le contenu soit dans le bon format. Par « format », j’entends :

• Développer le type de contenu que Google à tendance à classer. Consultez les SERPs pour voir ce que créent vos concurrents (guides pratiques, pages produits, articles de comparaison…) et faites de même.

• Présenter rapidement les informations qui sont recherchées. Par exemple, si votre page porte sur le thème « meilleures chaussures de randonnée », a priori, les internautes souhaitent lire un article détaillant les produits de qualité ainsi que leur prix, afin de savoir lequel acheter. Il ne s’agit pas d’un guide pratique sur les différents types de chaussures de randonnée ou sur la manière de choisir la bon modèle. Vous pouvez inclure ces informations si vous le jugez nécessaire, mais veillez à les placer vers la fin, après avoir répondu à l’intention de recherche.

• Parler au lecteur en fonction de son niveau de connaissance. Si votre contenu est supérieur ou inférieur au niveau de connaissance du lecteur, il ne répond pas à son problème. Un article destiné à un public plus expérimenté doit être rédigé différemment d’un article destiné à des débutants. Pourquoi ? Parce que leurs désirs sont différents. Ainsi, lorsque vous mettez à jour chaque article, demandez-vous s’il correspond à la problématique du lecteur cible. (Idéalement, vous êtes passé par la phase de recherche d’audience pour identifier les personnes pour lesquelles vous écrivez).

2. Mettez à jour les informations obsolètes

Les informations obsolètes ne se limitent pas aux statistiques de votre page. Elles comprennent les exemples et les conseils que vous avez utilisés pour ajouter du contexte à votre article. Vérifiez qu’ils ont toujours un sens et qu’ils sont pertinents par rapport à l’intention de recherche, au cas d’utilisation et à l’air du temps. Si ce n’est pas le cas, modifiez-les ou supprimez-les.

Soyez sans concession avec votre égo et revoyez votre point de vue pour vous assurer qu’il est toujours utile et pertinent. Si vous avez un contenu de type tutoriel ou des commentaires sur votre outil, vérifiez qu’ils représentent toujours correctement votre produit et votre message. Si ce n’est pas le cas, procédez aux ajustements nécessaires. Les utilisateurs qui tombent sur des articles de blog qui sentent la naphtaline ont tendance à déguerpir rapidement, à la recherche de nouvelles un peu plus fraîches, et on peut les comprendre.

3. Soyez complet et donnez des conseils pratiques

Le meilleur moyen d’y parvenir est de se mettre à la place du lecteur. Posez-vous les questions suivantes :

• Cet article est-il suffisamment détaillé et utile ?
• Me fait-il progresser dans ma réflexion ou mon apprentissage ?

En tant que spécialiste du marketing, votre objectif est de satisfaire la curiosité des lecteurs grâce à un contenu approfondi et exploitable, et non de susciter davantage de questions. Mentionnez donc tous les détails pertinents. Utilisez des exemples concrets et des études de cas pour corroborer votre argumentation, puis faites valoir votre point de vue en présentant les prochaines étapes pratiques que le lecteur pourra mettre en œuvre.

Prenons un exemple : j’ai récemment actualisé cet article sur l’autorité thématique pour le référencement. Au départ, il ne comportait que 950 mots alors qu’il s’agit d‘un sujet important et complexe et se classait à la page 4. Après l’actualisation, le produit final est un article approfondi de 2 500 mots qui se classe désormais en première page.
Cependant, je n’ai pas ajouté de mots à l’article simplement pour le faire remonter dans les SERP. Au contraire, j’ai ajouté de la valeur avec plus de titres, du contexte pour chaque point, et des conseils clairs et réalisables sur la façon de construire une autorité thématique de la bonne manière.

Regardez l’extrait ci-dessous. Vous pouvez voir comment j’ai expliqué pourquoi le lecteur devrait effectuer une recherche de mots-clés basée sur les entités au lieu de ce qu’il a déjà l’habitude de faire. Ensuite, j’ai étayé mon argumentation en montrant comment trouver des entités associées à un sujet. J’ai même créé un lien vers une ressource supplémentaire sur les entités dans le domaine du référencement afin de répondre à toute autre question et de rendre le concept moins vague.

Attention tout de même… La recherche à l’exhaustivité n’est pas un prétexte ou une excuse pour ajouter du superflu. Lorsque vous écrivez, veillez à ce que chaque phrase et chaque mot méritent leur place sur votre page. N’obligez pas vos lecteurs à sortir leur machette et partir à la recherche de l’information dont ils ont besoin en incluant trop de détails non pertinents. Allez à l’essentiel rapidement pour qu’ils puissent poursuivre leur chemin.

4. Suivez les recommandations SEO pour réoptimiser vos pages

Une fois que vous avez modifié votre contenu, l’étape suivante consiste à le réoptimiser pour lui donner les meilleures chances de classement. Pour ce faire, utilisez l’outil d’optimisation de contenu InLinks afin d’obtenir des recommandations claires en matière de référencement et obtenir des résultats probants.

InLinks vous montrera toutes les entités importantes dont vous avez besoin pour vous positionner sur votre sujet, y compris une plage de fréquence afin d’éviter toute suroptimisation accidentelle. Vous obtiendrez également des informations générales sur l’utilisation de chaque entité, des suggestions de sous-sujets, des recommandations sur le nombre de mots, un score de contenu et un niveau de lisibilité.

Vous pouvez actualiser votre contenu dans InLinks et voir toutes les données d’optimisation en temps réel. L’éditeur WYSIWYG d’InLinks est comparable à Google Docs ou MS Word ; il s’enregistre automatiquement toutes les 30 secondes.
Chaque rapport d’optimisation d’InLinks est accompagné d’une analyse concurrentielle des articles les mieux classés afin que vous puissiez analyser les thèmes, les entités et le contenu de vos concurrents. Il comprend également un rédacteur IA qui vous servira d’assistant créatif. Tous ces éléments vous aideront à produire du contenu frais optimisé pour le référencement, qui sera bien classé et performant.

Outre l’utilisation d’InLinks, n’oubliez pas d’effectuer les optimisations de base sur la page, comme par exemple :

• Inclure des images, des infographies ou des vidéos
• Utiliser du texte alt et des légendes pour le contenu multimédia
• Rédiger des méta-descriptions descriptives
• Vérifier l’orthographe, la ponctuation, la grammaire et la fluidité.
• Mettre à jour la date de publication.

5. Ajoutez de nouveaux liens internes

L’actualisation du contenu est aussi l’occasion de rafraîchir les liens qui relient vos anciens et vos nouveaux articles. Le maillage interne aident les robots d’indexation à trouver et à comprendre votre nouveau contenu. Il guide également les lecteurs vers d’autres articles qui clarifient votre point de vue et apportent une valeur ajoutée supplémentaire, sans quitter votre site Web.

InLinks peut vous aider à créer de nouveaux liens internes au sein de votre contenu au fur et à mesure que vous l’actualisez. Assurez-vous simplement que les pages concernées font partie d’un projet InLinks, et le système créera automatiquement des liens entre des articles connexes.

Vous devez également vérifier les liens déjà insérés dans votre contenu afin de vous assurer qu’ils ne sont pas brisés. Si vous avez récemment consolidé des pages de contenu, assurez-vous d’avoir mis en place des redirections 301 vers les nouvelles pages.

📚Lecture recommandée : Présentation de l’outil de maillage interne InLinks

6. Incluez le balisage SEO

L’ajout ou la mise à jour des données structurées est un élément clé de tout programme de rafraîchissement du contenu. Le balisage de schema aide Google à mieux comprendre votre contenu mis à jour, améliorant ainsi la façon dont il apparaît dans les SERPS.
InLinks peut générer et ajouter à votre contenu le balisage Schema correct pour les pages Web et les FAQ. Il vous suffit d’introduire votre page dans InLinks et de l’associer à un sujet cible. Le logiciel génère automatiquement le code de schéma au format JSON-LD et l’ajoute à votre page.

📚Lecture recommandée : Présentation du générateur de balisage de schéma InLinks

7. Améliorez l’expérience utilisateur

Au fur et à mesure que vous actualisez le contenu, prêtez attention à l’expérience utilisateur sur chaque page en vous mettant tout simplement à sa place. Des choses simples comme l’ajout d’une table des matières en haut de page ou de liens de saut sur le côté d’un long article peuvent faire une énorme différence. Utilisez également un langage concis, divisez votre contenu en petits paragraphes et utilisez autant que possible des puces.

L’objectif est de rendre votre contenu lisible et accessible afin que les lecteurs puissent facilement naviguer et trouver ce dont ils ont besoin. Une bonne ergonomie améliore la durée d’affichage et l’engagement dans le contenu, ce qui se répercute sur vos performances.

À quelle fréquence faut-il actualiser les anciens contenus ?

Régulièrement, ce qui veut tout dire et rien dire… Ce sera tous les mois, tous les trimestres, tous les ans, en fonction de votre stratégie de marketing de contenu, de vos objectifs commerciaux, des sujets que vous ciblez, des performances de votre site, de l’autorité de votre domaine et d’un grand nombre d’autres facteurs.

Il n’y a pas de calendrier fixe pour l’actualisation du contenu. La fréquence de rafraîchissement est propre à votre entreprise. La meilleure approche consiste à surveiller les performances de votre contenu et à définir des déclencheurs spécifiques aux mises à jour.

Par ailleurs, si un article fonctionne bien, il n’est pas obligatoire d’y apporter des modifications importantes simplement parce que le temps a passé. De telles modifications risqueraient de nuire à votre classement.

Intégrez le rafraîchissement à votre stratégie de contenu

Le rafraîchissement du contenu n’est pas seulement une stratégie recommandée, c’est une nécessité dans le paysage du référencement. En redonnant vie au contenu existant, vous pouvez regagner le trafic perdu, améliorer votre classement dans les moteurs de recherche organiques et rester pertinent aux yeux de votre public.

La quantité de mises à jour que vous ferez dépendra de votre situation, car il est tout aussi important de créer du nouveau contenu pour combler les lacunes. Toutefois, le plus important est de trouver un équilibre en intégrant les mises à jour de contenu dans votre flux de travail. De cette manière, vous conserverez votre classement beaucoup plus longtemps, vous maintiendrez un trafic web régulier et vous serez mieux à même d’atteindre vos objectifs en matière de référencement.

Enfin, mesurez les résultats de vos efforts de rafraîchissement du contenu. N’oubliez pas que le référencement n’est pas une activité que l’on met en place et puis que l’on oublie. Utilisez donc des indicateurs tels que le taux de rebond, la conversion, les partages sociaux, les liens retour et le temps passé sur la page pour évaluer en permanence l’efficacité de vos efforts et identifier les points à améliorer.

Cet article a été rédigé par Juliet John, traduit en français par Benoit Charbonneau, revu et édité par Dixon Jones.